C'est le temps de fêter, allez-y célébrez la langue française sans être nécessairement péquiste, il n'y aucun rapport. Tout comme la visite de Stephen Harper aujourd'hui au Québec. Il a le droit, il est le premier ministre du Canada, à ce que je saches. Ce n'est pas que je l'aime, mais les péquistes montent sur leurs grands chevaux trop vite. S'il veut faire de la promo pour les prochaines élections qu'il le fasse. Les autres politiciens ne sont pas mieux,sauf peut-être Jack Layton du parti néo-démocratique.En plus, le 24 juin c'est la fête à notre cher premier ministre "qui vient de Sherbrooke" du Québec "Jean Charest", il aura 48 ans, comme ma mère.
Les origines de la fête sont immémorielles. Chez les païens, le solstice d'été était célébré par des feux de nuit.
Pour lutter contre le paganisme, les évêques implantent des sanctuaires de Saint Jean-Baptiste dont la fête doit se substituer au culte des divinités barbares qui, avec les invasions successives des Saxons puis des vikings, durera jusqu'à la fin de la dynastie des Carolingiens.
Saviez-vous que ce n'est seulement que depuis le 11 mai 1977, que, par un arrêté ministériel du gouvernement de René Lévesque, le 24 juin devient officiellement le jour de la Fête nationale du Québec. L'année suivante, le comité organisateur de la Fête nationale du Québec est créé. Le comité confia d'abord l'organisation des événements à la Société Saint-Jean-Baptiste. En 1984, l'organisation est confiée au Mouvement national des Québécoises et des Québécois.
La Saint-Jean devient donc la fête de tous les Québécois et non plus uniquement celle des Québécois d'origine canadienne-française. Par les actions de la Société Saint-Jean-Baptiste et du Mouvement national des Québécois principalement, la fête est graduellement laïcisée et les célébrations des 23 et 24 juin deviennent ce qu'elles sont aujourd'hui. La traditions d'allumer des feux durant la nuit est toujours vivante.
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